Biographie de Jean-Noël Barrot
 

Ministre délégué chargé du Numérique

Né le 13 mai 1983 à Paris.

Formation universitaire

  • Diplômé de HEC Paris (Master Grande École), de l’institut d'études politiques (IEP) de Paris (Master en gouvernance économique) et de l'École d'économie de Paris (master en sciences économiques).
  • Titulaire d’un doctorat en sciences de gestion HEC Paris.

Cursus professionnel

  • Mission auprès du ministre de l'Économie et des Finances, ayant pour objet l'accompagnement de la sortie crise et le rebond économique des territoires (2021)
  • Professeur associé en finance d’entreprise à HEC Paris (2018)
  • Président du groupe de travail « Les moyens de contrôle et d'évaluation du Parlement » à l’Assemblée Nationale (2017)
  • Professeur assistant puis Professeur associé en finance à la Sloan School of Management du Massachusetts Institute of Technology (MIT) (2013-2017)

Mandats électoraux et fonctions ministérielles

  • Depuis le 4 juillet 2022 : Ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique
  • Depuis 2021 : Conseiller régional d'Île-de-France
  • Depuis 2017 : Député français
  • 2017 - 2022 : Vice-président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale
  • 2015 - 2017 : Conseiller départemental de la Haute-Loire
  • Depuis le 23 juillet 2022 : Vice-Président du Mouvement Démocrate
  • 2018 - 2022 : Secrétaire général du Mouvement démocrate
  • 2018 : Porte-parole national du Mouvement démocrate

Autres informations

  • Lauréat du programme « Young Leaders » de la French-American Foundation (promotion 2020).
  • Travaux de recherche publiés dans le Quarterly Journal of Economics, le Journal of Finance, le Journal of Financial Economics et Management Science sur :

-    le financement des entreprises et de l’innovation,
-    l’interaction entre les marchés de capitaux et les marches de biens et de services,
-    les effets des délais de paiement sur la survie des entreprises,
-    la propagation des chocs dans les chaines d’approvisionnement,

-    les effets de la mondialisation sur le coût du capital et l’endettement des ménages.